Les concerts captivants de DAMEFRISØR les ont déjà amenés à jouer en première partie de groupes tels que Squid, the Umlauts, JOHN, Folly Group, Katy J. Pearson, Walt Disco et bien d’autres – ainsi que sur la scène principale du Bristol Dot to Dot Festival, du Cardiff’s Sŵn Festival et du Dark Arts à Leeds.

L’EP Island of Light a été enregistré avec Alex Greaves (Working Men’s Club, BDRMM, Lice…) aux studios The Nave, à Leeds avec la volonté de développer le son du groupe ; le choix du producteur a donc été déterminant :« L’EP ressemble vraiment à une progression naturelle depuis la sortie des deux derniers singles. Nous avons commencé à écrire ces chansons avec l’intention de créer plus d’espace dans notre musique, et d’explorer davantage le mélange de sons naturels et industriels. Avant d’entrer en studio pour enregistrer, les chansons étaient à un stade basique ; les idées étaient là mais loin d’être formées.

« Travailler avec Alex a vraiment permis de rassembler ces chansons, il avait des idées et des techniques géniales qui ont fortement contribué à faire de nos idées une réalité. Le fait d’avoir pu passer du temps à travailler en profondeur sur chaque élément individuel a abouti à un disque dont nous sommes tous vraiment fiers, et également reconnaissants à Alex d’avoir aidé à donner vie à nos idées. »

Les paroles de l’EP ont été écrites en collaboration entre le chanteur Kazhi Jahfar et le batteur Nyle Dowd, en s’inspirant d’observations et de leurs propres expériences. Ils suivent les thèmes suivants : les différents types de personnages que l’on rencontre dans la vie de tous les jours, les perceptions du grand public et la façon dont nous, en tant que personnes, pouvons imaginer que le public se voit lui-même.

Parallèlement, le groupe a fait appel à l’artiste londonien Greg Orrom Swan pour l’aider à concevoir les visuels qui accompagneront les prochains titres. « Nous sommes immédiatement tombés amoureux du travail de Greg et de sa capacité à créer des images combinant l’organique et le numérique, ce qui nous a semblé correspondre parfaitement aux thèmes sonores de l’album ». Le cyanotype, le procédé utilisé pour la pochette de l’EP, utilise la lumière du soleil et des solutions de sel de fer, un procédé qui produit des résultats variés et uniques, qui se reflète dans la musique du groupe, comme le note Kazhi Jahfar « …ce procédé a résonné en nous parce que nous avons tendance à utiliser beaucoup de synthé modulaire dans notre écriture musicale, et nous aimons la façon dont la nature aléatoire de l’œuvre d’art se rapporte aux éléments de la musique de l’EP ».