Yves Tumor déplace, modèle et joue avec les frontières de l’art et de la culture contemporains dans un style sonore authentique et viscéral. Face à une œuvre qui honore avec tant d’aisance le rock, le psychédélisme et l’électronique en une réinvention constante de la pop, toute comparaison est approximative. Mêlant retenue et foisonnement de façon lumineuse, Yves Tumor dissout le réel en rendant l’abstraction signifiante et en permettant à la dissonance d’être perçue comme harmonie.

Yves Tumor nous annonce la sortie, le 17 mars chez Warp Records, de son album le plus abouti et le plus attendu à ce jour, Praise A Lord Who Chews But Which Does Not Consume (Or Simply, Hot Between Worlds). Le disque sera accompagné d’une tournée mondiale qui débutera au festival de Coachella. Avec Praise A Lord, œuvre intime et personnelle, l’artiste atteint de nouveaux sommets en revisitant la pop de façon remarquable. L’auditeur y est emporté dans un voyage spirituel d’une grande variété, entrelaçant l’obscurité et la lumière, la pop et l’innovation, la cacophonie et le calme d’une église. Reprenant à l’endroit où le premier single de l’album, « God Is a Circle », s’était arrêté, le mélange enivrant de mélodies addictives et d’arrangements audacieux se dévoile avec justesse dans « Echolalia », le nouveau single. Les deux clips ont été réalisés par Jordan Hemingway. Déjà à la barre du clip de « Secrecy Is Incredibly Important To The Both of Them », le réalisateur explore un monde transgressif tout en émotion, brillamment parsemé de références au cinéma d’auteur des années 70.

Dans Praise A Lord, produit par Noah Goldstein (Frank Ocean, Rosalía, Drake, Rihanna, Bon Iver) et mixé par Alan Moulder (My Bloody Valentine, Nine Inch Nails), les travaux précédents d’Yves sont décantés et amplifiés. L’esthétique viscérale et sans brides de l’album est renforcée par les contributions précieuses de Chris Greatti (Yungblud, WILLOW), Yves Rothman (Girlpool, Amaarae) et Rhys Hastings, collaborateurs de longue date.

Cet album est la suite officielle de l’EP à succès The Asymptotical World, dont la chanson « Jackie » a été classée numéro 1 de l’année 2021 par Crack Magazine et a figuré dans le Top 25 de Pitchfork. « Crushed Velvet » s’est hissée dans le Best of indé de Spotify en 2021 et parmi les meilleures chansons de l’année du magazine Vogue. L’album précédent de l’artiste, Heaven To A Tortured Mind, sorti en 2020, avait également été remarqué, notamment par le New York Times, le WSJ, Rolling Stone, Pitchfork, the FADER, NPR et d’autres. Plus récemment, Yves Tumor est apparu sur le nouvel album de WILLOW <COPINGMECHANISM>.

L’artiste va se lancer dans une tournée mondiale très attendue, qui débutera par un nouveau spectacle au festival de Coachella et se poursuivra par une vaste tournée en premières parties et en festivals, dont Primavera Sound, à Barcelone. Yves Tumor s’est rapidement imposé auprès du public, après avoir participé à un grand nombre de festivals de premier plan, de Pitchfork à Outside Lands en passant par Portola et This Ain’t No Picnic. Il a également assuré la première partie de Florence + the Machine et une série de concerts au Royaume-Uni et aux États-Unis en première partie de Nine Inch Nails. Ses passages ultra punchy dans des salles combles en Amérique du Nord, au Royaume-Uni et en Europe ont été salués par la critique. Tout au long de sa trajectoire impressionnante et en constante évolution, la presse a découvert en lui un artiste incontournable et essentiel, n’hésitant pas à le comparer à Prince, à Grace Jones et à Joy Division. La pop d’Yves Tumor redéfinit le genre, et ce n’est que le début !