Principalement écrit à New York, dans sa nouvelle ville, Every Dawn’s A Mountain marque un nouveau départ pour un artiste qui fait déjà la une des scènes de la plupart des pays d’Europe et du Moyen-Orient, allant même jusqu’à jouer devant la Grande Pyramide de Gizeh. Ses chansons et ses histoires ont stupéfié ses amis et ses fans, tels que David Byrne, Lana Del Rey, Mitski et Colin Greenwood.

Every Dawn’s a Mountain est alimenté par le sentiment du feu et la prise de conscience que tout ce qui a été construit avant, et à l’intérieur de vous, est sur le point de brûler – peut-être pour le meilleur. L’album parle de la perte, du déplacement, de la rupture et de l’abandon du passé.

Tamino émerge de ces braises d’épaves émotionnelles et entame son prochain chapitre. Bien que la plupart des dix titres aient principalement été écrits dans son appartement de Manhattan où il a récemment emménagé, il a également enregistré dans une église de la Nouvelle-Orléans, dans un studio à Bruxelles et dans des chambres d’hôtel dispersées lors de sa tournée avec Mitski, qui chante avec lui sur ‘Sanctuary’.

Bien que son grand-père, le célèbre chanteur égyptien Muharram Fouad, l’ait d’abord incité à apprendre la guitare, l’album est le fruit d’un travail de longue haleine et les arrangements de l’album sont en grande partie marqués par le son du oud arabe. Sa voix brûle également tout au long de l’album, passant d’une voix profonde et sulfureuse à un falsetto vacillant l’instant d’après.

Produit par Tamino et son collaborateur de longue date PJ Maertens, avec une coproduction d’Eric Heigle (Arcade Fire, Dawn Richard) et d’Alessandro Buccellati (Arlo Parks, SZA), et une production supplémentaire de Chris Messina (Bon Iver, Big Red Machine), Zach Hanson (Bon Iver, Sylvan Esso) et Jo Francken, Every Dawn’s a Mountain fait suite à aux albums Sahar (2022) et Amir (2019).